Qu’est-ce que la Catananche Caerulea ?

Vous venez d’acquérir une belle propriété, mais qui à première vue est dépourvue de charme. Pour ainsi y hausser le ton, pourquoi ne pas créer un joli jardin dans votre extérieur. Et pour ce faire, vous n’avez pas toujours besoin d’utiliser les grands moyens ou encore faire appel à un jardinier.

Vous pouvez très bien vous y prendre vous-même. D’autant plus que certaines plantes sont très faciles à cultiver. C’est le cas, par exemple, de la catananche bleue, d’un nom latin Catananche Caerulea. Avant de vous y mettre à sa plantation, quelques éclaircissements sur ce végétal sont les bienvenus.

La catananche bleue : ses caractéristiques

Appelée aussi cupidone bleue, la Catananche Caerulea s’immisce exceptionnellement bien dans un jardin. L’avoir dans votre jardin vous donnera la possibilité d’apprécier ses magnifiques tonalités et égayer votre journée. Cela peut-être une véritable cure pour le moral. S’épanouissant très bien sur le pourtour méditerranéen, la catananche bleue est une plante vivace éphémère et qui pousse très vite.

Sa floraison se fait avec une générosité incroyable. En effet, une multitude de fleurs d’un bleu époustouflant s’échelonne durant de nombreuses semaines estivales. Sa petite touche sauvageonne apportera indubitablement un certain cachet à vos massifs, talus et rocaille. Cette exceptionnelle floraison explique certainement sa durée de vie assez brève, généralement dans les deux ou trois ans.

La catananche bleue se caractérise par ses feuilles caduques de 20 à 30 cm de long linéaires et graminiformes, de teinte vert-gris. Ses fleurs s’apparentent un peu à celles des bleuets. Ses inflorescences solitaires se singularisent par ses fleurons rayonnants, allongés et effilés à l’extrémité.

Ces derniers sont souvent de couleur bleue ou lavande avec le cœur de teinte plus sombre. La catananche bleue donne ses plus belles fleurs, et ce, en abondance, durant tout l’été, de mai à juillet et août. Vous pourrez y constituer de jolis bouquets champêtres frais ou secs et apporter plus de couleurs dans votre intérieur. Notez que les fleurs de cette plante se font très bien sécher.

Miser sur une exposition de choix pour sa catananche bleue

Faisant partie de la famille des Astéracées, cette vivace trouve ses origines du bassin méditerranéen. Elle pousse surtout dans les garrigues, les pelouses sèches et aussi en bord de chemin. Celle-ci se plaît particulièrement dans des sols secs. Elle résiste très bien à la sécheresse. Toutefois, elle est assez sensible à l’humidité hivernale et la rend éphémère.

La cupidone bleue se cultive en plein soleil, dans un sol léger, caillouteux et calcaire et qui soit bien drainé. Notez que les terres lourdes et humides ne permettront pas à votre plantation de passer l’hiver sans encombre. Pour une bonne floraison de votre végétal, on vous conseille de l’installer à l’abri des vents froids.

Culture de cette plante

La plante est souvent commercialisée en godet. Elle s’installe en pleine terre toute l’année, en dehors des périodes de canicule et de gel. On vous conseille, toutefois, une plantation printanière. Comptez environ 6 pieds par m² afin d’obtenir un bel rendu décoratif. Espacez les plants de 30° à 50 cm, tout en veillant à ne pas enterrer leur collet.

Avant de mettre votre catananche en terre, assurez-vous que votre sol soit bien drainé. Privilégiez les expositions ensoleillées. Durant la saison hivernale, sachez que la plante peut supporter une température comprise entre -15 jusqu’à -30°C.

Entretien de cette vivace

Cette plante ne demande pas un entretien spécial. Elle pousse naturellement dans des sols pauvres, sans oublier qu’elle supporte bien la sécheresse. En été, aucun arrosage n’est à faire. De surcroît, le végétal n’a nullement besoin de fertilisation. En gros, on vous recommande de laisser votre catananche bleue vivre sa vie.

Ainsi donc, la main verte ou non, on ne peut que réussir la culture de cette vivace. Néanmoins, il serait quand même préférable de supprimer les tiges des fleurs fanées de temps en temps. Ce procédé n’est à faire que si vous ne voulez pas qu’elle se ressème.

Multiplication de la cupidone bleue

Cette vivace est une plante généreuse, mais a la vie courte. De ce fait, il convient donc de la multiplier de manière régulière afin de mieux la conserver au jardin. Chose d’autant plus à faire si vous voulez profiter de ses attraits pendant longtemps. Pour cette multiplication, vous pouvez procéder par semis ou par bouturage.

Pour les semis, réalisez-les sous châssis froid en pot, en mars ou alors en avril. Par voie de bouturage, vous pouvez vous y prendre en hiver. Les divisions des grosses touffes seront, quant à elles, plus faciles à réussir durant la saison printanière.

Conseils écologiques de cette vivace

Dans un jardin naturel, il serait préférable de pailler le sol autour de votre végétal, avec de la matière organique. Ceci limitera la croissance des mauvaises herbes et aura pour but de maintenir le sol frais

Les espèces possibles de la Catananche Caerulea

Pour apporter la touche que mérite votre jardin, vous avez le choix entre plusieurs variétés de catananche bleue. Vous pouvez ainsi opter pour la Catananche Caerulea Alba. Il s’agit ici d’une herbacée vivace poilue, comportant des tiges ramifiées sans feuilles.

Ces tiges sont de couleur gris-vert et sont principalement basales, simples et oblongs-lancéolées. Ses fleurs blanches sont particulièrement très décoratives. Lorsqu’elles sont sèches, ses bractées ont une teinte argentée.

Cette plante vivace forme une rosette de feuilles persistantes allongées. Ses hampes forales ramifiées portent de splendides fleurs blanches en juin-juillet. Elles sont suivies tout l’été par des fructifications globuleuses ornementales.

A votre guise, vous pouvez aussi opter pour la Catananche Caerulea Bicolor. C’est une annuelle persistante et résistante. Elle se distingue par la taille de ses fleurs et par les deux couleurs de ses pétales, d’un joli blanc et d’un violet soutenu.

Pour un extérieur encore plus sublime, misez donc sur la Catananche Caerulea Major. Cette espèce se caractérise par son bleu soutenu avec un cœur d’une coloration encore plus profonde. Ses touffes peuvent facilement atteindre une hauteur de 50 cm.

Les maladies et nuisibles pouvant affectées votre plantation

  • L’oïdium

L’oïdium peut s’emparer de votre catananche bleue. Mais qu’est-ce que c’est plus précisément. Plus d’une fois, si vous ne faites pas suffisamment attention, l’oïdium peut détruire la belle présentation de votre jardin. Il s’agit ici d’une sorte de champignon de la famille des érysiphacées.

Il est assez fréquent chez les végétaux, et la cupidone bleue ne fait pas exception. Le diagnostic visuel de l’oïdium est très simple. Cette maladie est causée par différentes souches de champignons selon l’hôte. Elle se manifeste par une poudre blanche qui recouvre les parties tendres de la plante.

Le principal dégât que peut causer cette maladie sur la plante, c’est la perte de capacité photosynthétique de celle-ci. Ce qui entraînera certainement le pourrissement du végétal, puisque la lumière du soleil ne parvient plus à pénétrer correctement. Il en résultera aussi d’une diminution de la production de la plante.

  • Les conditions permettant le développement de l’oïdium

Les conditions activant l’apparition de l’oïdium ou maladie du blanc sont similaires à celles des autres maladies fongiques. Pour son développement, il a besoin d’une humidité élevée et des températures douces.

Il apparaît le plus souvent au mois d’avril-mai, lorsque les températures remontent et que l’humidité du mois de mars et avril est encore bien présente. Ces éléments activent sa prolifération. Aussi, un excès d’engrais azoté peut favoriser le développement de l’oïdium.

  • Des astuces pour éviter l’oïdium

Certainement, la meilleure prévention pour tenir sa plante loin de l’oïdium serait d’éviter les facteurs qui stimulent son développement. Et en ce sens, on vous conseille de ne pas sur fertiliser votre sol avec de l’azote.

Avec la catananche bleue, ceci est, d’ailleurs, à écarter, puisque ce végétal ne demande aucune fertilisation. Pour ce qui est de l’humidité, il convient de choisir une variété qui peut s’adapter, sans risque, aux conditions climatiques de votre région. Puis, procédez à une taille de votre plante. Ceci permettra de l’aérer et éviter ainsi l’humidité.

De façon naturelle, l’eau de pluie peut vous être d’une grande utilité pour éviter l’oïdium. En effet, celle-ci nettoie les spores qui forment la poudre blanche responsable de l’encrassement des feuilles de votre végétal.

Si, toutefois, votre culture est déjà malade à cause de l’oïdium, pensez à prendre quelques mesures préventives, et ce, dans les meilleurs délais. Cela évitera la propagation de l’infestation. Et en ce sens, il est chaudement préconisé d’enlever les parties infectées de la plante. Aussi, pour éviter toute contagion, il convient de bien désinfecter les outils que vous utilisez.

  • Traitements envisageables contre l’oïdium

Malgré les efforts déployés, il n’est pas toujours possible d’éviter l’apparition de cette maladie. Mais que faire dans ce cas ? Il serait préférable d’utiliser des fongicides anti-oïdiums appropriés. Pour que votre plante puisse être sauvée, il convient d’agir le plus rapidement possible. En effet, si vous procédez à ce traitement aux premiers stades, avant que ses désagréables symptômes ne fassent leur apparition, vous aurez plus de chance de faire disparaître l’oïdium. Dans ce cas, vous pourrez donc utiliser des produits moins agressifs et nettement plus respectueux de l’environnement.

  • Les fongicides contre l’oïdium

Avant d’user des fongicides contre cette maladie, évaluez d’abord la saison à laquelle vous voulez faire cette opération. Si l’oïdium apparaît en fin de saison, les feuilles tomberont alors d’elle-même. Vous n’aurez donc dans ce cas plus besoin de les traiter.

Avec quelles plantes associer sa catananche bleue

Pour de beaux assemblages de coloris dans votre extérieur, vous pouvez associer votre catananche bleue avec le rosier à fleurs groupées Fortuna.

Rosier à fleurs groupées Fortuna

Ce sont des rosiers très ramifiés à la généreuse floraison en bouquets de 3 à 25 fleurs qui s’étale de l’été à l’automne. Selon leur taille, ils peuvent être installés en isolé ou en massifs.

  • Particularité

On a ici à faire à un rosier érigé ou buissonnant, très ramifié, remontant avec des rameaux épineux. Il se singularise par ses feuilles vertes sombres et luisantes. Elles se parent de jolies folioles de taille moyenne, ovales ou lancéolées. Quant à ses fleurs, elles peuvent être simples ou doubles. La floraison de cette plante continue en été et aussi en automne sur les rameaux de la 1ère et de la 2ème année.

  • Prenez garde au jaunissement des feuilles de votre rosier

Si vous ne faites pas suffisamment attention, votre arbuste peut souffrir d’un jaunissement de feuilles dû à une chlorose. Cette dernière indique que votre plante a des difficultés à assimiler certains nutriments dans le sol ou une carence. Si ces problèmes persistent, le feuillage de celle-ci va continuer de jaunir et la croissance peut s’arrêter. Pour les rosiers, la chlorose est souvent causée par une carence en fer ou en magnésium, mais pas uniquement.

Pour ainsi bien traiter la chlorose, il est essentiel de déterminer la cause de celle-ci. Procédez-y de façon méthodique. Et pour cela, il vous faudra faire une analyse de votre sol afin de trouver l’élément manquant. Pour ce diagnostic, vous n’aurez pas toujours besoin de faire une analyse onéreuse dans un laboratoire.

Vous pouvez très bien utiliser des kits d’analyses de sol vendus en commerce. Ils sont suffisamment fiables et vous permettront de définir avec précision les carences, dont souffre votre terrain.

  • Traitement

Ainsi, si votre rosier souffre d’une carence en magnésium, on vous conseille donc de pulvériser une solution à base de sulfate de magnésie sur les feuilles. Si le jaunissement des feuilles est dû à une carence en fer, un apport de sulfate de fer est préconisé. Il peut arriver que la cause du problème soit due au Ph de votre sol.

Dans ce cas, il est conseillé d’améliorer sa structure. Et pour ce faire, il vous faudra amender avec de la matière qui y correspond. Si votre sol est trop argileux, pensez à y ajouter du sable de rivière, accompagné de matière organique.

  • D’autres facteurs pouvant causer le jaunissement de votre rosier

Aussi, le jaunissement de votre rosier peut être le résultat d’une carence en azote. Ceci va grandement diminuer l’intensité du vert du feuillage de votre plantation. Ce manque se traite généralement en faisant un apport en sang desséché dans le sol. Ceci redonnera vigueur et force à votre arbuste. Pensez ensuite à incorporer un engrais complet à libération adaptée.

Pour mieux prévenir l’apparition de la chlorose, on vous recommande chaudement de vous renseigner auprès d’un pépiniériste de votre région. Il ne manquera pas de vous conseiller de miser sur des porte-greffes adaptés au sol de votre localité. Il vous recommandera aussi d’incorporer un bon compost au sol avant la mise en terre.

Votre rosier peut aussi faire face à d’autres maladies et nuisibles. On pense à l’oïdium, à la marsonia rosae, aux nématodes. Il y a aussi :

  • La rouille du rosier

Cette maladie se caractérise par ses pustules brunes, oranges et jaunes qui apparaissent sur les feuilles. Pour l’éradiquer, surveillez régulièrement vos rosiers et enlevez des feuilles contaminées. Appliquez un fongicide à base de myclobutanil, triforine, soufre ou propiconazole. Pour un traitement naturel, faites une décoction de prêle que vous pulvériserez sur vos rosiers malades.

  • Les pucerons du rosier

Les pucerons affectionnent particulièrement les rosiers. Donc, prenez garde. Ils attaquent ceux-ci tout en freinant leur croissance et par la même occasion leur floraison. En guise de prévention, on vous conseille chaudement de guetter les pucerons à partir d’avril puis pulvérisez un insecticide à base de pyrimicarbe, d’imidaclopride ou d’huile avant que l’attaque n’ait pris de l’ampleur.

Notez que le fait de vous y prendre le plus rapidement vous permettra de sauver votre plante, car les dégâts ne sont pas encore trop importants. Si, par contre, ces nuisibles ont déjà envahi votre jardin, il serait préférable d’utiliser un traitement naturel. Vous pouvez, par exemple, y introduire des coccinelles.

Sachez que ces dernières sont des grands prédateurs de ces nuisibles. Ainsi, vous pouvez installer des larves de coccinelles dans votre jardin. Vous pouvez également faire du purin d’orties, d’ails, de fougères, de marc à café ou savon noir.

Par ailleurs, vous pouvez les chasser de façon naturelle en cultivant des plantes à fleurs anti-pucerons dans votre jardin. On pense ainsi à la rue officinale, à l’anthémis, au souci ou encore au margousier. Utiliser ces solutions naturelles vous évitera l’emploi de produits chimiques. Et là encore, les conseils avisés d’un professionnel en jardinerie ne serait certainement pas de refus.

Scabieuse Beaujolais Bonnets

Libre à vous aussi d’associer votre cupidone bleue avec la Scabieuse Beaujolais Bonnets ou Scabiosa. Bien qu’assez méconnue, cette plante permet d’offrir une ambiance champêtre à son extérieur. À fleurs singulières, ce végétal à part ne manquera point de métamorphoser cet espace.

On l’adopte souvent dans notre jardin pour ses envoûtantes couleurs pastel ou pourpres d’un raffinement délicat, apportant ainsi une pointe d’élégance et de raffinement tant aux jardins d’été qu’aux bouquets.

La teinte particulièrement romantique de ce végétal s’immisce sans fausse note dans les massifs estivaux à côté des phlox, des graminées et des achillées. Tout comme la catananche bleue, cette plante est aussi très simple de culture et aussi d’entretien. Elle participe activement à la vie du jardin en réagissant à la moindre brise et en étant le garde-manger des autres butineurs.

La Scabieuse Beaujolais Bonnets ou Scabiosa est une sorte de plante vivace herbacée, plutôt cultivée comme une annuelle sous nos climats. Son aspect champêtre prodigue beaucoup de légèreté dans les massifs.

Ses fleurs en forme de petits pompons aplatis se renouvellent sans discontinuer du mois de juin à septembre. La base de cette scabieuse se constitue d’une touffe de feuilles lancéolées, plus ou moins découpées selon les espèces. De ces derniers émergent de longues tiges de 50 à 90 cm. En remontant es tiges de votre végétal, les feuilles sont sessiles

Cette belle plante a une préférence particulière pour les emplacements ensoleillés qui favorisent son fleurissement et se contente de différents types de sols, parfois même des plus calcaires. Il suffit juste qu’ils soient bien frais et bien drainés et le tour est joué. Cueillez-les pour favoriser le renouvellement de la floraison ou laissez-les sécher pour créer un décor hivernal grâce à leurs petits fruits en boules.

  • Plantation

Ce sublime végétal se sème de préférence sous abri en terrine dès le mois de mars. Si le gel fait encore fureur dans votre région, attendez plutôt au mois d’avril, car ses graines préféreront une température comprise entre 18 et 21°C environ. Elles lèveront, généralement, en une petite quinzaine de jours.

Pensez à recouvrir ces graines avec une fine pellicule de substrat de 3 mm, que vous maintiendrez légèrement humide. Dès lors que les plantules sont suffisamment grandes pour être changées de place, vous pouvez les installer en pleine terre, lorsque le risque de gel est passé.

Pour un bon développement de cette plante, on vous conseille de faire très attention aux limaces et aussi aux escargots. Si vous voulez, vous pouvez directement aussi semer votre plantation en terre dès le mois d’avril. Si vous craignez encore le froid, procédez à vos semis en mai.

Enfouissez légèrement les graines en gardant un espace de 15 à 20 cm. Une fois qu’elles auront levée, pensez à éclaircir en enlevant les plants si cela s’avère nécessaire. Pour cette culture, on vous conseille un coin ensoleillé et qui ne soit pas lourd.

Conclusion

Pour donner du cachet à notre jardin, il en faut parfois peu. Vous n’avez pas toujours besoin d’y intégrer de grands mobiliers d’extérieur, à coûts exorbitants. En y intégrant de belles plantations, vous pourrez tout à fait obtenir un résultat qui dépasse de loin vos attentes.

Et dans tout jardin digne de ce nom, on y trouve immanquablement la catananche bleue. Cette plante vivace comble nos jardins de belles images avec ses belles couleurs. Plusieurs variétés de cette plante s’offrent à vous. Vous n’aurez qu’à choisir ce qui collera le mieux à vos attentes.

Si vous n’avez pas trop la main verte, cette plante est alors faite pour vous. Elle ne nécessite quasiment aucun entretien. Le seul grand ennemi de ce végétal est sans doute l’oïdium. Une bonne vigilance est donc de mise.

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